De la spiritualité à la personne [Rp libre][TERMINÉ]

Les cours venaient de finir, le soleil quittait tranquillement sa hauteur dans le ciel, ses doux rayons frappaient les fenêtres des couloirs, comme il fesait bien d'être en jupe encore! Un sac au dos, je m'approchais du pavillon, ce que l'herbe verte me rappellait ma tendre Londres d'amour! Les arbres de la forêt bougeait tranquillement sans réellement se dépêcher à s'éteindre dans la noirceur qui les engloberait dans quelques heures. J'ouvris enfin la porte de ce qui m'avait été décrit comme une salle de danse avec d'immenses mirroir où l'on pouvait se pratiquer seul. Je fermis la porte et me changea: j'enfila une paire de jogging et une camisole blanche. J'attacha mes cheveux dans une «toque» qui tomba lâchement contre ma nuque. Je sortis ma radio de mon sac et la brancha contre le mur en me préparant enfin à recommencer à m'entraîner. Le cd enfin mit dans le lecteur, la douce musique classique aux notes mélodieuses et tragiques prirent possesion de mon corps. Doucement, je me pencha sur les côtés, étirant les bras, laissant la tristesse exprimé par le violont et le piano. Je plongea au sol, d'un geste du dos, me retourna sur le dos, je frotte le sol ciré de mes bras, le ton de la chanson se calme et je reviens à quatre pattes avant de revenir debout et de tourner sur moi-même plusieurs fois.

Les secondes se suivent et se ressemblent, la chanson tire à sa fin et je m'attends déja à entendre la mélodie de «[i]Stirb Nicht Vor Mir» une de mes chansons préférées, d'un groupe allemand que j'avais déja entendu jouer lorsque j'étais enfant. Laguitare commença doucement, laissant la suite aux autres musiciens qui enchaînaient avec un air triste la chanson. Sentant la vibration de l'esprit de la musique entrer en moi, je recommençai à bouger doucement, avec beaucoup de talent sur le doux fils d'amour. [/i]

-Il vient me voir à chaque nuit, chantonnais-je mélodieusement, aucun mot ne sort jamais...avec ses mains autour de mon cou, je ferme les yeux et je continu mon chemin.

Je danse encore et encore, transie entre une pure folie musicale et un orgasme professionnel, on s'entends!
-Je ne sais pas qui il est, dans mes rêves, il existe. Sa passion est un baiser et je ne peux y résister.

Une voix masculine, celle du chanteur, prends la relève, alors que j'entâme une réplique doucement, mon corps en harmonie avec ma voix et la musique.

-Ne meurs pas avant moi....Je ne sais pas qui tu es! Je sais que tu existes! Parfois l'amour semble si loin! Je ne peux pas arrêter de t'aimer!

Dans un enchainement de mouvement exprimant la peine et la détresse des amoureux, je bouge, de plus en plus, les larmes aux yeux, cette chanson sera toujours mon histoire...La douce mélodie finit et je m'essuya les yeux. Si seulement un jour, on allait m'aimer...! Sans même observer le local, je remis de la musique, forte et je me changea encore. C'est en enlevant mon chandail qu'enfin je vis mon observateur...

-Hey! Ne sois pas pudique surtout! Tu ne sais pas ce que je pourrais te faire si tu te déshbilles comme ça devant moi!

Oh mon dieu, elle n'aurait pas pu plus me faire peur! Je la regarda en me cachant la poitrine, rouge tomate probablement. Je souris timidement et pensa:« Wow la première fois qu'une fille me rencontre, je suis en bracière...Bravo!»

-Ça n'arrivera plu, soufllais-je encore extrèmement gênée. Tu t'appelles?

Enfin, je vis dans son visage le sarcasme de sa première réplique, elle a l'air très gentille en plus! Encore mes talents de belle génie je suppose! J'ai jamais réalisé qu'en fait, beaucoup de gens aimait mon corps, je dis toujours que les garçons ne veulent pas de moi, mais je ne crois pas qu'ils repoussent mon corps...C'est aussi vrai...que dans certain party je me suis retrouvée dans certaines positions que je préférerais oublier, bref, au nombre de filles qui ont déja essayées de m'embrasser, ou ont réussit, je suppose que je dois être attirante...Ouais, je suis hétéro et j'ai plaisir à jouer vilainement avec des petites filles...Comment ça se fait que je pense à ça soudainement? Ah oui, mon corps! C'est vrai que Sky l'aime aussi beaucoup, mon dieu! J'ai tellement hates de me retrouver seule avec lui, je sens qu'on va se rapproché, je le sens youpy! Enfin un peut-être presque petit copain avec qui je pourrai être honnête! Car oui, une superstar du piano et de la guitare comme moi à des secrets...Aie...je me vante un peu, de toute manière elle ne peut pas lire mes pensées alors je peux penser ce que je veux bon!

Mais...mes seins sont vraiment beaux! J'avais baissé les yeux pour la regarder. Bien débordante dans mon beau soutien-gorge léopard dentellée...Elle doit croire que je suis une pute, haha! Faudrait que j'essais ça un jour de coucher avec plein de garçons! Ça doit être cool de pouvoir avoir plein de gars qui ne font que penser à notre corps, à fantasmer nous toucher...ahh ce que mes rêves ne sont que fantaisies! Il faudrait que je puisse me trouver un petit coquin d'homme ou fille pour ça, je sens qu'avec Sky ça va prendre du temps de toute manière, ce que je suis accro au sexe!

Je descendis de mon nuage d'illusions et de pensées alors que je la vis s'avancer un peu pour me répondre.

-Ça n'arrivera plu. Tu t'appelles?

Comme elle avait l'air gênée! Je la vois rougir en tentant, tant bien que mal, de cacher sa poitrine assez avantageuse. Je cru voir dans ses yeux un éclair d'excitation. Je passa mentalement en revu ce qui pouvait exciter une jeune fille normale, puis, je réalisa que le sexe devait avoir sa place dans cette catégorie. Je m'avança un peu, histoire de réduire l'espace entre nous.

-Je m'appelle Maxinne, lui répondis-je, et toi? Tu dois avoir un superbe nom pour aller avec ce très joli corps...

Je laissais bien entendu beaucoup de place à interprétation dans ma réplique... ça l'obligera à me montrer si elle est intéressée, à moins qu'elle ne soit évasive, alors, là j'étais cuite. Il me faudrait trouver une autre réplique. Je ne puis m'empêcher de la détaillé; a peu près de ma grandeur, brunette, corps mince, presque maigre, soutien-gorge léopard... elle voulait me rendre folle, ma parole! Comme je continuais à la regarder avec insistance et que ça devait encore plus la gêner, je pris un malin plaisir à la torturé un peu.

-Tu sais que ce soutien-gorge est un peu provocateur? lui dis-je, malicieuse. Je te regarde, là, et je ne peux m'empêcher de penser que tu risques d'avoir des problèmes si tu mets pas un chandail tout de suite.

Je me dis moi-même, qu'avec mon petit top de sport rouge et mes mini-shorts en jean, je ne devais pas faire grande impression, a part prostitué... ce que j'étais, au fond. Seule mon éternelle tuque noire, cachant mes oreilles, pouvait me donner l'air d'être plus "adolescente" et moins "jeune putain". Malgré tout, je me fous de son impression de moi, je suis là pour le sport et la musique.

Qu'importe la vue que mon corps offrait, la vue du sien était définitivement plus explicite. Je cessa tout de même, un peu contre mon gré, de la fixer pour lui donner l'ocassion de regarder mes yeux et, par le même fait je me concentrais sur mes autres sens. J'entendis alors que sa respiration s'accélérait... était-ce parce qu'elle venait de danser de toute son âme, ou simplement parce que je me rapprochait d'elle? Aucun moyen de le savoir. J'adorais cependant l'avantage que me donnaient mes attributs félins! Un humain n'aurait sûrement pas perçu cet infime changement dans le son que l'air produisait en entrant et en sortant de ses narines et de sa bouche entrouverte. Je devais garder la tête froide... garder la tête froide... Je n'avais jamais eu à lutter contre mes pulsions, elles s'exprimaient d'elles-mêmes et, habituellement, personne ne m'empêchait de les toucher, mais je ne voulais plus d'une vie comme à Marseille. Le temps que l'adolescente en face de moi réagisse à mes provocations, je serai sur le point de suer à force de me concentrer à combattre mes démons intérieurs. Je devais avoir bien cruche à fixer ses yeux, qui étaient, je tiens à le préciser, aussi verts. Comment définir la sensation qui me parcourut alors... je pencherais pour des picotements qui remontent le long des nerfs, mais je sais qu'il existe un mot pour cela... un frisson! Je frissonnais d'anticiper ce qu'elle me réponderait.

-Je m'appelle Maxinne,et toi? Tu dois avoir un superbe nom pour aller avec ce très joli corps...

Je rougis de plus belle, elle est sympa, pensais-je rapidement. Je chassa aussitôt l'idée de lui sauter dessus...Je me réservais à sky...mais...mais si seulement...juste une fois, juste une petite fois, ahh et de toute manière, je ne pourrai pas puisqu'elle ne doit pas comprendre ce que je ressens. Si seulement je savais qu'elle était son idéal de fille, je le deviendrais aussitôt, et elle pourrait me montrer ses pouvoirs en même temps...c'est triste, car je pourrais apparaitre nue dans mon nouveau corps...

-Tu sais que ce soutien-gorge est un peu provocateur?

Malicieuse alors? Elle me donnait des idées, chasse-les, me dis-je rapidement.

-Je te regarde, là, et je ne peux m'empêcher de penser que tu risques d'avoir des problèmes si tu mets pas un chandail tout de suite.

Et si je ne veux pas le mettre en? que m'arrivera-t'il? et non, je ne l'ai pas dis à voix haute, trop gênée, ou peut-être trop attirée, j'adore être étudier, pour pouvoir profiter de la stupéfaction de l'autre pour jouer, vous voyez?

Je la fis gonffler un peu, juste un peu, elle ne le réalisera probablement pas, mais je sais que ça l'émerveillera, comme tous les autres avant elle. Je me découvrais un peu en même temps que je jouais mon rôle de poufiasse, comme pour qu'elle soit attirée par mon corps, mon âme et que, comme un diable devant une âme, elle me saute dessus, pour sentir la volonté qu'elle a de puiser en moi un élixir rare...À voir son regard et les perles sur son front, ma tactique marchait à merveille. Je fis un pas, un seul et je le vis, un éclair frôla sa pupille qui s'agrandit quelque peu. Je souris en coin, et voilà une autre charmée.

- Jade, et regarde bien, car sûrement tu ne réussiras pas à toucher, je suis une sorte d'oiseaux rares, on doit attirer mon attention plus que ça pour que j'ouvre à cette personne une partie de moi très chaste...Je suis une petite nône, glissais-je du bout des lèvres, un clin d'oeil sexy en plus, ça ne serait plus long avant qu'elle ne tombe dans mes bras.

Mais pourquoi une fille? Malgré le nombre de fois où mon corps a touché celui de centaines de filles, je ne me suis jamais avoué bisexuelle, puisque c'est seulement pour le plaisir sensuelle de la femme que je les aime, pas pour avoir une relation longue et durable, une maîtresse me serait parfaite.

-Tu ne sais vraiment pas ce que tu risques, lui sursurais-je. Jade... tu n'es pas avec tes petits amis de l'école en ce moment.

Non, voyons je ne l'aurais jamais deviner, sérieusement, je croyais qu'elle allait jouer avec moi aux «Barbies» dans une maison miniature! De toute manière, je suis bien habituée de jouer avec les grands, au nombre de garçon délirants que j,ai rencontrés, celle-ci ne les dépasse sûrement pas, vous voyez, un garçon qui se montre une certaine partie du corps en vous criant :«Touche-moi! S'il te plait, joue sur moi, comme tu joue au piano!» C'est assez pathétique. J'ai rien d'autre à dire sur ces gars-là, de toute manière qui aurait à dire de quoi? C'est dans des moments de déprime amoureuse, ou juste affectionnelle que tu vas les voir et leur dit: « J'ai besoin de sourire à nouveau...» Et c'est là, que la magie opère, à chaque cheval son cavalier, vous comprenez? Je dois avouer que plusieurs fois, ils étaient...euh...très bon, mais sinon, j'ai vraiment hates de rencontrer le grand amour, Sky a beaucoup de chance de l'être, justement, mais cette fille, une simple aventure que je devrais cachée à Sky...

-Tu n'es pas en classe R, non?

Wow, je suis complètement abasourdie, comment elle avait pu en arriver à cette question là? Ce n'est pas très grave, mais je commence à croire que je suis populaire auprès des filles! C'est la deuxième qui se souvient de moi aujourd'hui!

-Euh...Oui...

En entendant sa voix, j'ai un peu eu peur, elle est tout de même...imposante malgré qu'elle ne parait pas être très forte...

-Ça fait longtemps que tu es ici, soufflais-je, collé contre le mirroir depuis sa dernière question.
Je sortis mon baume à lèvre de mes poches et en étandis sur mes lèvres, elles seraient peut-être plus alléchantes comme ça! Je lui fis un regard de démon, pas d'un démon dégueulasse, mais un démon dans le style : »Saute-moi dessus, tu verras bien comment je suis rawwr!» Parce qu'en faite, je suis tout de même ainsi, je n'ai aucune expérience de couple longues, alors le sexe et encore le sexe, c'est un peu la normale quoi? Et de savoir que bientôt, je pourrais peut-être la dévorée, sentir son corps contre le mien, et mes doigts se logée profondément en elle au début de la relation, m'exite à un point tel, que je ne pense pas être capable de résister très longtemps. JE SUIS EN MANQUE DE SEXE NAOOOOONNNNNNNNNNNNNNN! Je l'avoue...je l'avoue...ahhh...je déteste qui je suis... --'

-Euh...Oui...

Elle répondit à ma question de façon si hésitante que j'en venais à penser qu'elle mentait. À quoi cela lui servirait-il? Ça, je n'en ai aucune idée. Il faudra lui demander lorsqu'elle approchera de l'orgasme que je vais bientôt m'employer à lui donner, car on ne dit jamais de mensonges dans de tels moments, seulement la vérité, de façon assez crue parfois...

-Ça fait longtemps que tu es ici, reprit-elle.

Je ne savais pas trop si c'était une question, ou une affirmation, mais ce qu'elle fit ensuite me déconnecta complètement de ce qu'elle avait dit. Elle sortit un baume à lèvres et s'en mit délicatement et de façon presque sensuelle. Mon corps réagit fortement à cet appel de rapprochements et je ressentis une chaleur se propager dans mon bas-ventre, signe d'attirance sexuelle que je ne connaissais que trop bien.

Avant même qu'elle eut finit d'étendre sa solution hydratante sur ses lèvres quasiment trop pulpeuses, je me rapprochai encore et mis mes mains de chaque côté de son visage, directement sur le mirroir.

-Je viens à peine d'arriver, lui dis-je, en frôlant ses lèvres, mais je peux te montrer que j'ai vécu avant d’atterrir ici. Tu ne voudrais pas aller ailleurs?

J'entendis le baume tomber par tomber par terre, et se respiration devenir saccadée. Je savais qu'elle en avait envie, mais je ne lui donnerait pas tout de suite un baiser. Tout est toujours plus amusant lorsqu'on le savoure et qu'on prend notre temps. C'est comme une panthère qui traque sa proie; la traque est aussi délectable que le moment où elle l'attrape.

Je plongea mon regard au plus profond du sien en caressant son épaule droite. Sa peau était tellement douce! Parfaitement hydratée, elle devait prendre soin d'elle. Magnifique, elle n'en sera que plus délicieuse! Mes lèvres frôlèrent encore une fois les siennes, puis elles descendirent dans son cou où elles trouvèrent un endroit propice aux frissons. Je l'embrassai tendrement à la base du cou, près des trapèzes. Un coin où on est sûr de faire des ravages. Je remontai un peu et lui mordillai le lobe d'oreille.

-C'est quand tu veux, murmurais-je sensuellement, où veux-tu aller?

Je revins en face d'elle et ma main qui était sur son épaule descendit sur sa hanche, de façon à mieux la prendre contre moi. Lorsque nos corps auraient pu se confondre l'un à l'autre, la petite coquine(je parle de ma main, on s'entend) vint se poser sur une de ses fesses, qui, soit dit en passant, étaient bien fermes et rebondies. J'attendis ainsi sa réponse, continuant à la caresse de façon très explicite.

-Que dirais-tu des jardins, cette nuit? Ça serait exotique, non?

Je devais avouer que ce serait magique. Je ne pus, sur le moment, formulé une réponse claire, puisque une de ses mains s'était glissée sur mes hanches et ma taille et entreprenait maintenant de se glisser sous mes shorts. Lorsqu'elle réussit à se frayer un passage, elle resta entre ces derniers et mes sous-vêtements. Je me félicitai intérieurement d'avoir mis mon string rouge assorti à mon top. Bien sûr, elle ne le voyait pas encore, mais ça viendrait. Elle joua un peu avec ses doigts sur mon intimité. Je remarquai qu'elle avait bombé la poitrine. Elle était vraiment belle. Jade ferma les yeux et je bougeai alors une main jusqu'à sa poitrine pour en caresser les fruits. Si douce était sa peau à cet endroit délicat! Je ne pus m'empêcher de frémir sous ses doigts. Elle avait du talent, quand même. J'utilisai ensuite ma deuxième main pour relever son menton, qu'elle avait baissé sous l'excitation qui se propageait dans la salle et se répercutait sur ses murs, puis je déposai un baiser court mais passionné sur ses lèvres.

-Très bien, lui dis-je, on se rejoint là-bas vers 22h.

J'étais impatiente de lui donner mon corps et de découvrir le sien. Autant commencer la soirée le plus tôt possible. Je continuai à l'embrasser langoureusement en me déplaçant sur sa main. Je glissai une des miennes, celle sous son menton, jusqu'à son entrejambe et fis descendre un peu son jogging. J'entrepris alors de passer sous ce dernier pour lui donner un avant-goût. Ma main alla se placer sur son intimité et bougea lentement au début, pour ensuite accélérer un peu, juste le temps qu'elle se cambre sur moi. Je la lâchai ensuite, déposai un baiser furtif sur sa joue et reculai.

-À ce soir, ma belle, dis-je avec un clin d’œil.

Je sortis ensuite de la salle de danse, laissant Jade là, probablement désemparée et excitée un max. J'avais réussis à me trouver une conquête la première journée! Bravo Maxinne! C'est bien! Je me dirigeai alors vers mon pavillon, marchant tranquillement et avec un sourire en coin sur le visage. La jeune fille va enfin découvrir ce que c'est qu'un orgasme. Il ne nous restait plus qu'à tuer le temps jusqu'à 22h, soit dans moins de quatre heures.