Riverside Academy
Pensionnat reconnu à travers le monde, Riverside accueille des jeunes de toutes sortes...Et vous, qu'êtes-vous?
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| | | BATHURST, Eleonore |  |
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Eleonore Bathurst
Messages : 9
Date d'inscription : 28/01/2012
Age : 28
|  Sujet: BATHURST, Eleonore  Sam 28 Jan - 12:04 | |
| Carte Étudiante Nom: Bathurst
Prénom: Eleonore Agnes
Âge: 14 ans.
Sexe: Femme
Nationalité: Anglaise naturalisée, née française.
Année: Première
Classe: Classe T
Option: Option M
Dossier Médical
Taille: 1 m 58
Poids: 109 lbs
Allergies: Aucune
Handicap: Aucun
Maladies ou Troubles: Anxiété profonde, troubles du sommeil
Antécédents Médicaux: Crise d'angoisse sévère à l'âge de 8 ans; sueurs froides, tremblements incontrôlables, rythme cardiaque extrêmement élevé. Elle a dû être hospitalisée une nuit entière ainsi qu'une partie de la journée suivante. Description Physique Eleonore est une grande fille à l'air dégingandée, maladroite. Longues jambes, longs bras, elle ne paraît pas bien dans son corps. Elle a souvent les épaules voûtées, les yeux baissés. Ses cheveux sont légèrement bleutés et minces, souvent gras, car elle oublie parfois de prendre sa douche. Ils sont aussi très courts : ils n'atteignent même pas ses épaules. Quelques mèches épars lui couvrent le front, pour l'instant elles sont fraîchement coupées, mais au bout de quelques mois vous la verrez toujours en train de les écarter de ses yeux d'un geste nerveux. C'est un de ses nombreux tics, que vous ne manquerez sûrement pas de remarquer. Sa minceur est assez surprenante, en effet elle mange peu. Son visage, quant à lui, n'a rien de très charmant. Elle a un visage long et anguleux, impression renforcée par ses joues creuses et les profondes cernes qui lui ornent toujours les yeux. Ceux-ci sont d'un bleu-vert changeant et, lorsqu'elle est bien reposée, peuvent prendre des teintes d'émeraude ou de turquoise époustouflante.
Analyse Psychologique
Personnalité: Eleonore est sans doute l'une des plus tristes humaines de ce campus. Triste à voir, je veux dire : toujours d'une nervosité extrême, tendue, mal dans sa peau et dans son corps. Elle est loin d'être une idiote pour autant : elle est consciente de bien des choses. Consciente qu'elle n'est pas normale, consciente de ce qui est bien et de ce qui est mal, consciente de ce dont elle a besoin. Mais son anxiété est une barrière qui la coupe du reste du monde, qui l'empêche d'être elle-même et de s'extérioriser. Ce qui l'aide, c'est de se servir de ses mains : démonter, ou alors construire quelque chose, l'ont toujours beaucoup aidé à se calmer, mais elle n'en est pas totalement consciente. Vous la verrez souvent en train de démantibuler un crayon lors de ses cours : c'est sa façon de se couper du monde, d'oublier tout le reste. Pour ce qui est du reste, est-elle généreuse? Méfiante? Indépendante? Je vous invite à le découvrir vous-même... Et à le lui faire découvrir, également, car elle se pose beaucoup de questions à ce sujet...
Phobies: Elle déteste les bruits trop forts ou les endroits bruyants.
J'aime et j'aime pas: Elle aime être dehors, faire du sport, les animaux, sa mère. Elle n'aime pas les gens qui parlent trop fort, les travaux scolaires, penser à son avenir, les responsabilités, elle-même.
Projets d'Avenir: Elle aimerait devenir présentatrice de nouvelles. Elle a toujours trouvé que ça avait l'air amusant, en regardant ces belles grandes dames nobles et pleines d'un calme rassurant. Elle aimerait aussi voyager, voir une plage et des palmiers de ses propres yeux. Elle rêverait aussi de se marier et d'avoir des enfants, mais c'est un rêve qu'elle n'ose même pas caresser, et qu'elle considère avec un triste pessimisme. Biographie Pour comprendre le pourquoi et le comment qui caractérise Eleonore, il faut remonter bien avant sa naissance, dans un pays bien différent de l'Angleterre. Allemagne, 1939. Une date bien trop familière, n'est-ce pas? C'est dans cette Allemagne violente et pleine de haine qu'évolue la petite Agnes, celle qui était destinée à devenir, plusieurs décennies plus tard, la grand-mère de ladite Eleonore. À l'époque, Agnes avait 13 ans. Bien avant la guerre, son enfance n'était pas des plus roses : son père, un fonctionnaire allemand, n'était pas beaucoup plus qu'un fantôme dans sa vie. Sa mère était donc celle à s'occuper de la famille de huit marmeaux, avec la dureté et la lassitude d'une femme exténuée, qui aurait de loin préféré une autre vie. Ses frères et soeurs n'étaient pas des plus exemplaires pour leur part, souvent méchants avec elle, la petite avant-dernière, ou alors tout bonnement snobs, pas le moins du monde intéressés par une enfant bavarde et en quête d'attention.
C'est lorsqu'éclata la Guerre, toutefois, que les véritables déboires commencèrent. La famille se retrouva déchirée : la mère d'Agnes, bien que non-pratiquante, était d'origine juive. Son père, incapable de prendre une décision d'abord, finit par se ranger avec son chef, pour sauver sa propre peau. Un soir, lorsqu'il revint, les gendarmes l'accompagnaient, et ils étaient prêts à arrêter la famille entière. Il y eut beaucoup de cris et de vaisselle brisée, cette nuit-là, et dans un moment où personne ne semblait faire attention à elle, Agnes en profita pour aller se cacher dans une armoire, tremblante d'effroi, le coeur battant la chamade. Les hurlements de son père et de sa mère entremêlés, les bottes des gendarmes, et les pleurs de sa jeune soeur lui déchiraient le coeur, mais elle n'avait su trouver le courage de faire quelque chose. Elle n'avait pu que regarder tandis qu'un à un, ses frères et soeurs ainsi que sa mère était embarqués dans le fourgon noir qu'on avait garé à l'entrée. Enfin, elle entendit la voiture de malheur démarrer : puis le bruit se fit de plus en plus lointain, et le silence revint dans la maison.
Ne sachant quoi faire, terrorisée, Agnes n'osa sortir de sa cachette. Elle dormit dans l'armoire et s'éveilla fourbue et courbaturée, les joues barbouillées de larmes, et le ventre criant famine. Deux heures durant elle n'osa toujours pas bouger, chaque bruit à l'étage ou dans la rue la faisait sursauter. Toutefois, sa frayeur atteignit un sommet vertigineux lorsqu'elle entendit la poignée de porte de l'entrée tourner. C'était son père.
Il ne tarda pas à la trouver mais, alors qu'elle s'apprêtait à hurler, il lui plaqua vivement la main sur la bouche pour l'en empêcher. Il était revenu la chercher. « Pour te protéger » lui assura-t-il. Agnes se rappelait distinctement la surprise qu'elle avait éprouvé, en découvrant des sillons de larmes sur ses joues.
Ainsi débuta la terrible cavale. Quelques jours plus tard, Agnes et son père plièrent clandestinement bagage et quittèrent l'Allemagne. Durant les six années que dura la Guerre s'enchaînèrent des centaines d'appartements tous semblables, aux murs gris et délavés. Un en Autriche, un autre en France, ou encore un autre en Pologne : ils traversaient les frontières sans cesse, talonnés par les officiers allemands qui recherchaient son père. Un matin ils pouvaient être réveillés par des hurlements dans l'appartement voisin, « Les allemands sont là! Les allemands sont là! », et alors le bruit des bottes sur les escaliers, les voix dures qui aboyaient des ordres, et les coups de feu, les pleurs. Il fallait aussitôt sauter par la fenêtre, trouver un moyen, n'importe lequel, mais leur échapper, à ces démons armés jusqu'aux dents.
Toutefois, les nazis finirent par triompher : un mouchard avait dévoilé leur position. Ils débarquèrent dans l'appartement et tous deux furent brutalement embarqués. Direction : les camps de concentration.
Agnes parvint à s'échapper, grâce à sa petite taille et son agilité, mais son père n'eut pas cette chance. 1945, la pauvre créature errait seule dans les ruines de Varsovie, traumatisée et emplie d'un profond désir de mourir. Et puis la guerre prit fin. Mais pas les tourments d'Agnes.
Agnes conserva un profond malêtre après avoir vécu pareille enfance. Tout était difficile pour elle : faire confiance, entretenir une conversation, garder un emploi. Elle se retrouva rapidement parmi les parias de la société, impliquée dans des histoires de drogues rocambolesques et embourbée jusqu'au cou dans sa misère. C'est après avoir couché avec un client qu'Agnes tomba enceinte de la mère d'Eleonore. Ce qui nous ramène donc à ladite Eleonore.
Angoisse, anxiété, crises, troubles psychologiques : c'est un fardeau que, depuis Agnes, l'on se transmet de génération en génération, on dirait bien. La mère d'Eleonore était exactement comme elle : bourrée de tics, profondément nerveuse, et addict à de nombreuses cochonneries. Les jeunes années d'Eleonore furent particulièrement éprouvantes : sa mère vivait encore dans les quartiers les plus malfamés et les plus dangereux de France, prisonnière d'un homme violent pour qui elle devait se prostituer. Celui-ci la battait souvent et même, un jour, tourna ses foudres contre la petite Eleonore d'à peine deux ans, lui assénant un violent coup de pied. C'est dans ce climat de violence et de peur qu'Eleonore, sans doute, développa tous ses troubles.
Toutefois, la mère et l'enfant furent sorties de la misère, par un prodige sans nom. Un homme, un anglais de beaucoup d'influence, tomba sur elles un jour de pluie, alors que la mère avait décidé de fuir son taudis de souffrance, son bébé sous le bras, courant ainsi des risques terribles. L'enfant était malade : elle faisait de la fièvre et déjà ses yeux étaient vitreux, depuis des jours déjà à errer dans les rues, sans rien à manger, et à la merci de la froideur de mars. La mère était en larmes, éplorée. « Je vous en prie, monsieur, aidez mon enfant, elle va mourir, je vous donnerai n'importe quoi, je vous en supplie, aidez-la... »
Or il semblerait qu'elle était tombée sur la bonne personne. Un homme de coeur et de bonté, mais surtout, plein d'argent. Eleonore fut soignée et put se rétablir : et, contre toute attente, l'homme leur offrit son aide et sa protection.
La mère et la fille furent ramenées en Angleterre et l'homme les référa à un organisme qui leur offrit un abri et de l'aide psychologique. La mère suivit de nombreuses thérapies, on lui dénicha un petit boulot de secrétaire où elle travailla dur, très dur, déterminée à se remettre sur les rails, pour le bien de sa fille. Celle-ci put rencontrer d'autres enfants, tranquillement, on lui apprenait à socialiser. Mais la pauvre était dans un désordre psychologique inimaginable. Elle faisait souvent des crises, avait peur de tout.
Enfin, les choses parurent se calmer. À ses cinq ans, Eleonore semblait aller mieux, et il en allait de même pour sa mère : celle-ci avait son propre logis et travaillait pour sa survie. On ne peut pas dire que tout allait pour le mieux, cependant, car la vie restait ardue. Malgré tout, elles recevaient de l'aide financière du même homme qui les avaient recueillies dans la rue, et cette chance inestimable leur permettait de subsister, de garder la tête hors de l'eau, en plus du petit boulot de la mère.
Eleonore alla à l'école et cela parut lui faire du bien. Elle ne faisait plus de crises; mais elle restait renfermée, ne souriait que rarement. Les autres enfants la craignaient un peu. Toutefois les professeurs lui apportaient une attention particulière, qui aidait la petite à s'intégrer. C'était un petit début de paradis pour deux pauvres femmes qui avaient toujours eu la vie dure.
Mais les choses régressèrent alors qu'Eleonore avait huit ans. Lors de la récréation, un de ses camarades de classe, pour lui jouer un tour, s'approcha d'elle en douce avec un klaxon à la main. Il se plaça juste derrière elle et lui colla le klaxon à l'oreille, avant d'appuyer. Eleonore fut prise d'une peur sans nom. Elle se mit à hurler de toute la force de ses poumons et se recroquevilla sur le sol, complètement terrorisée, les mains sur les oreilles. On tenta de la raisonner, en vain : dès qu'on la touchait, elle se mettait à hurler, et la terreur qu'on pouvait lire dans ses yeux était tout simplement indescriptible. Elle se balançait d'avant en arrière, la sueur ruisselait sur son visage. Elle était en crise d'angoisse.
On dut l'hospitaliser, et depuis, ses crises recommencèrent pour de bon. Il y avait des mois où cela semblait se calmer, où on avait enfin l'espoir que tout cela ne cesse, mais toujours cela recommençait, et il apparut clair qu'Eleonore était un cas perdu. Sa scolarité fut morcelée et difficile, les établissements finissaient tous par la renvoyer systématiquement. C'était un véritable enfer.
Entre-temps, le mystérieux homme bienfaiteur et la mère d'Eleonore s'étaient mariés : on les rebaptisa Bathurst, puisque tel était le nom de monsieur. Ce n'était que grâce à lui que la famille pouvait subsister, car la mère d'Eleonore n'arrivait plus à travailler, trop bouleversée par ce qui arrivait à sa fille. Les relations entre eux deux étaient toutefois tendu, à cause de cela justement, et surtout à cause d'Eleonore, dont l'anxiété mettait les nerfs de tout le monde à rude épreuve.
C'est finalement M. Bathurst qui proposa que l'on envoie la petite à Riverside, là où il soutenait que le personnel saurait quoi faire. Sa mère s'opposa longtemps à cette idée, détestant devoir laisser sa fille partir, mais elle finit par reconnaître que c'était la bonne solution. Ainsi Eleonore fut-elle inscrite à Riverside, dans l'espoir qu'elle puisse trouver là-bas quelqu'un qui saurait enfin remettre de l'ordre dans sa pauvre personne, et retrouver un cheminement scolaire correct. Toutefois, peut-être a-t-on oublié de prendre l'avis de la petite en considération avant de prendre cette décision. En effet, s'il y a bien une chose qu'Eleonore craint, c'est bien d'être séparée de sa mère, la seule personne qui semble la comprendre dans ce bas-monde. L'idée de se retrouver complètement seule, dans un endroit inconnu, la rend folle d'inquiétude : autant dire que les premiers mois à Riverside risquent d'être difficiles... Faudrait pas oublier! Orientation Sexuelle: Elle n'en sait rien.
Secrets: Bof... Pas pour l'instant, je crois. xD
La Famille et les Relations: Elle entretient une bonne relation avec sa mère : c'est la seule avec qui elle se sent réellement bien. Toutefois, celle-ci aussi est victime de crises, c'est pourquoi certains diraient que cette relation lui fait plus de mal que de bien. Elles peuvent s'aider mutuellement à se calmer comme elles peuvent s'angoisser mutuellement. Quant à M. Bathurst, Eleonore est assez méfiante à son égard. Elle n'a pas encore réellement saisi l'ampleur de tout ce qu'il a fait pour elles, et elle se méfie de tous les hommes en général, cause de mauvais souvenirs. Lorsqu'il commence à monter le ton, elle angoisse automatiquement, car sa voix forte l'effraie.
Autre: // Et toi, t'es qui en fait? Surnom:Laura ou Eleonore ça ira =P On m'appelait Azu' avant, si y'en a pas qui me connaîtrait!
Âge:16 =)
Expérience Rp: 3-4 ans..?
Disponibilités: Je ne sais pas trop, ça dépends toujours des travaux scolaires et tout le reste...
Commentaires:Moi être amie de Otilie \o/ Et aussi petite question : vous n'activez pas les feuilles de personnage? Et vous n'avez pas de catégorie pour les demandes de sujets non plus? =o
Codes: L'ombre passa et valida. | |
| | | | Otilie-Schatten Edelstein
Administrateur
Messages : 181
Date d'inscription : 08/11/2011
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore Dim 29 Jan - 0:15 | |
| Laura! *O*
Très très belle fiche en passant, j'adore l'histoire^^
Pour répondre à ta question, oui les fiches sont «activées», elles sont déplacées dans les archives lorsqu'elles sont finies et acceptées. Aussi, on poste toujours un petit mot sur les fiches pour confirmer au membre que tout est en règle.
Pour répondre à ta deuxième question, non, on a pas d'endroit pour les demandes de sujets, n'importe qui est libre d'ouvrir un sujet n'importe ou dans le pensionnat. Cependant, maintenant que tu m'y fait penser, il faudrait ouvrir une catégorie pour les demandes de RP... Enfin, si tu as une personne en tête, tu peux la contacter par MP en attendant C:
Je ne sais pas si j'ai bien répondu à toutes tes questions... Sinon, et bien, n'hésite pas à me le dire! | |
| | | | Eleonore Bathurst
Messages : 9
Date d'inscription : 28/01/2012
Age : 28
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore Dim 29 Jan - 12:19 | |
| Marciiii  Les cours d'histoire auront servi à quelque chose xD
Ahh non non ce n'est pas ça une feuille de personnage, c'est quelque chose qu'on peut activer dans le Panneau des Admins. Lorsqu'elle est activée, c'est une section que l'on peut aller modifier dans son profil,avec des champs personnalisés par l'admin. Au fond c'est là où tu rentres toutes les infos qui concernent ton personnage, son âge, son sexe... Et souvent on met une section relations où le membre écrit les relations qu'il entretient avec chaque personnage, il lui écrit comme un petit message personnalisé, si tu veux. Et puis on peut choisir que certains champs apparaissent dans les messages, en-dessous de l'avatar, donc c'est pratique pour savoir rapidement à quel personnage on a affaire. : )
Et oki, bonne idée pour le Mp! =P Mais c'est souvent utile quand tu recherches un lien particulier, exemple : j'aimerais trouver un petit copain pour mon personnage... Des gens se proposent, on fait des sujets avec eux et on finit par en choisir un... C'est sûr que ça enlève un peu la spontanéité du jeu si tu veux mais c'est utile pour faire avancer un peu la vie de son personnage quand ça stagne! 
En tout cas j'aime bien le forum, c'est très organisé et bien monté, j'ai hâte de jouer. =D | |
| | | | Éris O. Yáta
Option R
Messages : 14
Date d'inscription : 23/11/2011
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore Dim 29 Jan - 13:42 | |
| Si j'étais toi je monterais un peu l'âge de Eléonore, parce que la majorité des gars sur le forum on 16 ans et plus. Du coup, je sais pas pour certain, mais la majorité aimerais pas vraiment sortir avec une fille de 14 ans
Sinon, tu pourrais toujours faire un RP avec James, il est aussi en classe T. Qui sait, peut-être qu'il va apprécier Eléonore! ^_^ | |
| | | | Otilie-Schatten Edelstein
Administrateur
Messages : 181
Date d'inscription : 08/11/2011
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore Dim 29 Jan - 14:52 | |
| Éris, je trouve très judicieux que des personnages plus jeunes existent aussi sur le forum. Il faut bien que tout les âges soient exploités, et il faut aussi que quelqu'un le fasse en premier.
Et Éléonore, en fait, les fiches de personnages sont toujours en cours de création (j'avais oublié leurs existences....), mais toute tentative de les rendre fonctionnelles a été couronnée d'échec :/ | |
| | | | Bitter Wong
Messages : 5
Date d'inscription : 30/01/2012
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore Mar 31 Jan - 0:34 | |
| Bam. Biter entre en scène pour dire, WOW Laura!
Ta fiche elle est longue ET intéressante!
Bravo! :-) | |
| | | | Eleonore Bathurst
Messages : 9
Date d'inscription : 28/01/2012
Age : 28
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore Mar 31 Jan - 21:18 | |
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| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: BATHURST, Eleonore | |
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| | | | | | BATHURST, Eleonore | |
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