Éris Oh-Oh Yáta!

Carte Étudiante

Nom: Yáta
Prénom: Éris Olive
Âge: 16 ans
Sexe:Femme
Nationalité:Grecque
Année:Quatrième
Classe:Neko
Option:Littérature

Taille: 1 mètre 65
Poids: 56kg
Allergies: Les arachides
Handicap: Elle ne peut pas vraiment courir vite dû à une blessure interne dans sa cuisse droite.
Maladies ou Troubles: ------
Antécédents Médicaux: -------


Éris est assez grande et porte bien ses formes. Bien sûr elle n'est pas la prochaine Miss Bikini, mais elle est assez jolie pour remporter un concours de beauté. Sans pour autant avoir une crinière digne d'une déesse grecque, elle a des cheveux longs et d'un noir corbeau. Ses sourcils bien taillés et ses paupières bien maquillées font ressortir ses yeux qui sont verts forêt. Parfois, lorsqu'elle passe au soleil, on peut apercevoir des rayons rouges autour de son iris. Comme son nom le dit, Éris(Déesse du Chaos dans la mythologie Romaine), on disait lorsqu'elle était jeune que sa mère savait que cette enfant aurait une âme aussi noire que le charbon. Les cheveux d'Éris son long jusqu'au bas dos et elle aime les laisser détacher ou les mettre en toques. Sinon elle n'est pas gênée du tout de ses oreilles et sa queue de chat. Elle les affirme et se dit que c'est le destin qui a voulu qu'elle soit dotée de ceux-ci. Ses oreilles et sa queue sont toutes deux noires sauf que ses oreilles ont un peu de blanc à l'intérieur, ce qui rajoute une touche de clarté dans les cheveux sombres de la jeune fille.


Personnalité: Éris est très sensible, ce qu'elle trouve être une faiblesse. Elle aime provoquer les gens et tout comme la déesse du chaos, elle aime créer le désordre et la zizanie. Elle n'aime pas vraiment les endroits silencieux, ça la fait réfléchir et donc elle préfère les endroits animés tels que les foires ou les lieux publics. Elle ne pense pas toujours avant d’agir, ce qui l’amène à avoir des regrets plus tard. Elle a aussi tendance à s'excuse à retardement. Si on parle de sa personnalité en général, elle est correcte. Si ce n'est du fait qu'elle cherche souvent les ennuis. Éris est provocatrice, ayant un côté sombre qui la pousse à souvent utiliser l’humour noir. Elle ne s'attache pas très vite aux gens, mais si elle rencontre une personne qui la comprend et qui lui porte un minimum d'attention, elle risque de vouloir la revoir. Elle déteste avouer que les autres ont raisons et donc, par le fait même, déteste avoir tord.

Phobies: Se retrouver trop près de quelqu’un. Elle n’aime pas être trop entourée. Sinon, elle n’aime pas les gros chiens.

J'aime et j'aime pas: Elle adore les gâteaux aux fromages. C'est une fanatique de sport. Elle faisait du karaté à l'époque, mais a arrêté à cause du décès de sa mère. Son sens de l'humour tourne autour du sarcasme et de l'humour noir. Elle trouve que les cheveux blonds teint ça fait laid et que les trucs roses c'est pour les fifilles. Si elle avait à choisir, elle voudrait un piercing au lieu d'un tatou. Elle préférerait avoir un chum plutôt qu'un ami gars, c'est trop compliqué les amis gars (selon elle) car on ne sait jamais si on les aime et si c'est le cas, comment on lui dit? Puisqu'après tout, c'est un ami. Elle porte en permanence des talons hauts sauf dans les moments où ça l’empêcherais de bouger avec liberté.

Projets d'Avenir: Elle veut que les neko s'accepter enfin et qu'ils arrêtent de penser que l'herbe est plus verte chez les humains normaux. Aussi, plus fifille, elle veut un copain.


Lorsque je suis née, j'avais déjà une âme noire. Ma mère le savait bien et c'est donc pour cela qu'elle m'a baptisé Éris, déesse du chaos. Elle m'a par là suite élever seule pendant près de 10 ans et ne portait tellement pas attention à moi qu'elle me nomma comme bon lui semblait, d'où le nom Yáta, qui veut dire chat en grec. Mon nom du milieu, Olive, est le nom de ma grand-mère. Mona, ma mère, n'était pas un très bon modèle de mère. Elle buvait, criait pour rien et couchait avec un peu tout le monde un peu partout. Elle n'était pas très présente pour moi et j'ai donc dût me débrouiller toute seule. C'est à l'âge de dix ans que j'ai commis mon plus gros regret. Je jouais seule dans ma chambre quand soudain j'entendis un bruit lourd. J'ai sursauté sur le coup et j'ai décidé d'aller voir, sur la pointe des pieds, ce qui pouvait bien se passer. Le bruit se fit réentendre de la cuisine. L'appartement n'était pas bien grand et ma chambre était juste à côté de celle-ci. Je longeai le mur pour enfin apercevoir la table à manger et la pluie qui martelait sur la porte patio du petit balcon. Un coup de tonnerre résonna et je me couvris vite les oreilles pour bloquer le son. J'ouvris les yeux et vit une main attraper là poignée extérieure de la porte. Je repris mon souffle après avoir réaliser que c'était ma mère qui tentait d'ouvrir la porte. J'allai débarrer et la laissa entrer. Celle-ci était trempée jusqu'aux os et elle marchait en zigzag comme une soûlonne. Un mec entra après elle, il était grand, musclé et tatoué. Il lui demanda qui j'étais. Comme simple réponse elle répondit que ça n'avait pas d'importance. Elle l'avança vers moi et ouvrit le tiroir de la cuisine à ma gauche. Elle en sort un gros couteau à steak. Elle referma le tiroir d'un coup de hanche et pointa ses yeux fatigués et rempli d'alcool vers moi. « Écoute chérie, maman a envie de partir avec Michel ici. Mais elle ne peut pas partir si tu es là. » Elle se mit alors à rire comme une démente en donnant un regard furtif suivi d'un clin d'œil à Michel. « Maman doit partir ce soir, mais tu ne viendras pas avec moi! » Cette phrase était aussi suivie d'un rire qui me résonne encore aujourd'hui dans la tête. Elle s'avança d'un pas boiteux vers moi avec la lame du couteau pointé dans ma direction. Je poussai un petit cri et tenta de m'enfuir. Malheureusement, elle m'avait cordé dans un coin de la cuisine et la seule façon de fuir était de courir vers elle. C'était trop risqué alors je continuais de reculer vers le mur. Mes mains étaient posées sur celui-ci et je touchais un bâton. J'avais l'habitude de mettre le ballai dans le coin puisque comme cela il tenait debout. Ma mère m'envoya un coup de couteau que je réussie à éviter de justesse, mais qui m'a quand même atteint à la cuisse. Une coulisse de sang coula sur mon bas de pyjama. J'agrippai le bâton et le balança par-dessus mon épaule pour qu'il aille se cogner contre l'épaule de ma mère. Sur le coup elle lâcha le couteau qui vint se planter dans le plancher de bois. Les yeux de ma mère étaient maintenant pleins de haine. Son regard me figea pour un moment, mais je repris mes esprits pour prendre avantage de la situation. J'ai pris en vitesse le couteau au sol et j'ai envoyé un coup de poignard dans l'épaule de ma mère. Elle lâcha un cri qui aurait réveillé les morts et m'attrapa le bras. Je me défis de sa prise et lui planta un autre coup dans le dos. Je retirais l'arme et cette fois-ci je fis le coup fatal en plein milieu du torse. Ses yeux rempli de rage devinrent sans vie. Je retirai mon couteau et elle tomba au sol comme un chiffon. Dans un autre coin de la cuisine, Michel regardait la scène avec horreur. Il tourna son regard vers moi et fonça pour venir m'étrangler. J'avais peine à respirer mais j'eus quand même la force de lui envoyer un coup de couteau dans la joue. Des gouttes de sans vinrent s'asperger sur mon visage. J'enlevai l'arme de son visage et fit le même coup fatal alors qu'il se tenait le visage en criant au meurtre. Un coup bien placé entre les côtes et s'en était fini. J'entendis les sirènes de polices. Mes voisins avaient probablement appelé le 911 lorsqu'ils ont entendu les cris. Je lançai le couteau sous le frigidaire et fit un dernier regard vers ma mère couchée au sol, dans sa robe de cocktail, au décolleté plongeant, baignant dans le sang ainsi que Michel avec la joue ouverte. Je sortis par la porte patio et m'enfuis dans la nuit. La police ne trouva pas le coupable sur le coup et les journaux annoncèrent qu'ils laissent l'affaire en suspend. J’ai dut vivre dans des familles d’accueil et dans des orphelinats. Six ans plus tard, alors que je dormais sur un banc de parc, la police passa et m'emmena au poste. En voyant mes oreilles et ma queue, ils décidèrent de m'envoyer dans une école spéciale faite pour des gens comme moi. Riverside, me voilà.


Orientation Sexuelle: Hétérosexuelle
Secrets:

Spoiler:

La Famille et les Relations: Depuis qu'elle est toute petite qu'elle vit avec sa mère. Éris ne connait pas son père, car sa mère dit avoir été mise enceinte lors d'un one night avec un type inconnu. La mère de Éris l'a donc élevé seule. Toute sa jeunesse, Éris l'a vécu chez elle, la plupart du temps sans sa maternelle qui, elle, sortait tous les soirs pour aller faire sa job de prostituée pour revenir à l'aube. Mis à part sa mère, Éris n'a pas d'autres membres de famille. Elle n'était pas riche et donc elle n'avait pas accès à l'école. Elle n'a pas eu d'ami avant l'âge de 10 ans. Ses familles d’accueils ne l’ont pas marqué non-plus tant que ça, mis-à-part les Heckings. Des anglais immigrés en Grèce pour le marché qui s’y trouvait. Ils étaient gentils, mais sans plus. Par contre, Éris va souvent penser à cette famille assez, disons, particulière. Sinon, à Riverside, elle connait plusieurs personnes, allant presque à connaître tout le monde de nom ou de visage. Ça ne fait pourtant pas d’elle une fille populaire. Sans vouloir entré dans les détails, il y a, en outre, Sky, Jayden, Ginger, Otilie, Lena, Luca, Peter, Chandu, Beatrice…

Autre: Rien à dire, ni a redire ou à... vous avez compris


Surnom: Kapow!
Âge: Jamais personne me le demande alors je l’ai oublié! -__-
Expérience Rp: Depuis l’année dernière! (mouhahah! Maintenant on ne sait plus de quel année je parle!)
Disponibilités: Souvent lorsque j’ai des trucs à répondre, sinon, ben, j’ai une vie! 
Commentaires: YA-HA~!
Codes: L'ombre est passée valider ta fiche.

Je ne te demanderai pas de trouver le code deux fois, alors pour t'éviter de la job je valide celle là sans!

Hop-là!
Bon RP!