Andrew Goldsmith

Comme je l’ai déjà dit, je mesure dans le environs de 172cm et je pèse environ 61kg, poids tout à fait normal si on prend considération de ma taille. Je suis mince, légèrement découpé au niveau des muscles, même si je suis loin d’être l’homme le plus fort et musclé du monde puisque je ne me suis jamais entraîné dans ce but. Pour ce qui est de mon visage, et bien, il est majoritairement composé de traits fin évoquant une certaine fébrilité que je ne cacherai pas. Cependant, depuis quelques mois, mon regard à changé, il est beaucoup plus dur qu’auparavant, j’ai tendance à faire fuir les gens lorsqu’ils m’approchent juste à la façon que j’ai de les regarder, mais ça m’importe peu, sincèrement. Sinon, parlant de mes yeux, ils sont d’un bleu-grisâtre assez pâle contrastants avec mes cheveux noir aile de corbeau dans lesquels peuvent paraître quelques reflet bleutés tout dépendant de l’éclairage. Sinon, je possède deux petites cicatrices sur le côté droit de mon cou, et je sius certain que vous êtes capable de déduir ce qu’li en est vous-même.

Côté style vestimentaire, je suis plutôt simple, je ne vois pas l’intérêt d’essayer de m’habiller de façon extravagante et unique. En fait, je porte le plus clair de mon temps de simples jeans foncés, dans les tons de bleu de gris ou de noir, ainsi que des chemises à manche courtes souvent blanches ou parfois de couleurs diverses comme noir et bleu, bien que j’en possède une de couleur kaki. Sinon, on ma souvent dit que les uniformes scolaires me faisaient à merveille et je les ai toujours biens appréciés, alors je suppose que je suis fait pour un style un peu plus sérieux et ‘’classy’’ si on peut dire ça comme ça.

Personnalité: Alors là, ça devient un peu plus complexe à partir d’ici! Depuis quelques mois, bien des aspects de ma personnalité ont changés alors bon…Avant que ma vie ne soit changée à tout jamais, j’étais un garçon sympathique et extraverti. J’aimais bien les gens, même si parfois mon petit côté solitaire et indépendant venait à prendre le dessus. Sinon, je ne le cacherai pas, j’étais un peu hautain parfois, mais pas de manière constante ni exagérée, ce qui faisait en sorte que je n’irritais pas vraiment les gens. J’avais de la confiance en moi et une certaine détermination qui me permettait d’accomplir les choses qui devaient être faites même si je n’en avais pas envie. Mais ça c’était avant…

De puis cet « incident », la plupart de ces aspects de ma personnalité ont disparus. Tout à le don de m’énerver, les gens qui m’adressent la parole ne le font plus car dès l’instant ou ils ont prononcé un mot, je les ai envoyé promener. Mais en même temps, ce n’est pas que je veux être méchant et éloigner les gens, c’est simplement que je ne me sens plus capable de me mêler aux gens normaux. J’ai cette constante sensation de honte qui pèse et qui m’empêche de prendre contact avec les autres, qui me fait sentir comme un véritable monstre. La confiance que je possédais, je ne l’ai plus réellement, en fait j’ai peur de moi-même, je me dégoûte moi-même. Sinon, j’ai perdu toute ma capacité à garder mon sang-froid ou à réagir. Toute situation d’urgence ou demandant un certain contrôle peut soit me faire paniquer totalement ou simplement me faire figer sur place, pas besoin de vous dire que c’est peu pratique…

Il y a cependant quelques aspects de mon caractère qui sont restés, comme le fait que j’ai toujours été incapable de mentir. Même si j’essaie, même si ce serait la meilleure chose à faire, je me trahis toujours moi-même. Mon visage décrit mes émotions comme un livre ouvert et mes paroles sont si peu convaincantes qu’il faudrait être un réel imbécile pour ne pas me percer à jour. Sinon, je ne suis aucunement rationnel, aucunement raisonnable. J’ai beau me répéter sans cesse ce qui serait le mieux pour moi, j’ai beau le savoir et en être conscient, mes impulsions finissent toujours par prendre le dessus.

Phobies: Depuis ma transformation, je ne supporte plus la vue du sang venant d’une blessure. Si quelqu’un se blesse près de moi, je deviens paniqué, je ne sais plus comment réagir.

J'aime et j'aime pas: J’adore la musique, elle fait partie intégrante de ma vie. Depuis quelques temps, c’est encore plus vrai, la musique est devenu mon échappatoire, c’est-ce qui me permet d’oublier tout ce qui s’est passé pendant un moment et qui me permet de redevenir moi-même. Je joue d’ailleurs de la guitare électrique, instrument que je pratique depuis plusieurs années déjà. Sinon, ce que je n’aime pas…Je ne sais pas trop, en fait je ne sais plus, j’ai l’impression que les choses qui me dérangent, changent à tous les jours. Mon humeur n’est aucunement constante. Par contre, j’ai toujours détesté que les gens me poussent à parler de choses dont je n’avais pas envie ou que l’on ne me prenne pas au sérieux.

Projets d'Avenir: Pour l’instant, je n’ai absolument aucun projet d’avenir puisque ma vie me semble dénuée de sens, je ne sais plus quoi en faire.

Je suis né un 7 Décembre par une journée particulièrement douce d’automne. Premier enfant de ma famille, je restai enfant unique jusqu'à mes huit ans, moment ou ma sœur naquit. J’eu une enfance normale et heureuse. J’allais à l’école comme tout le monde j’avais des amis et je n’avais aucun problème au niveau scolaire. Je n’étais pas un enfant colérique et mes parents m’encourageaient à continuer comme je le faisais. Ce que je fis pendant plusieurs autres années. Certaines personnes eurent de la difficulté à passer de l’école primaire à l’école secondaire, mais ce ne fut pas mon cas. J’étais une personne qui attirait la sympathie des gens et qui s’entendait avec tout le monde. Je n’avais jamais réellement eu de problème dans ma vie qui suivait son courant que je croyais imperturbable. Malheureusement, je fus désillusionné de façon brusque il y a de cela environ 3 mois.

J’étais à une fête organisée par un ami que je connaissais bien. Plusieurs personnes que je connaissais s’y trouvaient, et tout se passait sans encombre. Certains dansaient tandis que d’autres se contentaient de bavarder, alcool en main. Je faisais parti de ces gens, bien que j’aime la musique, je n’ai jamais aimé danser, alors je me contentai de discuter de tout et de rien avec les gens qui m’entouraient. Après un moment, l’effet de l’alcool se fit sentir un peu, mais rien qui n’aurait pu me faire faire des conneries. Mais à un certain moment de la soirée, je posai les yeux sur un jeune homme, apparemment âgé d’une vingtaine d’année. Plusieurs filles s’étaient agglutinées autour de lui, mais il ne semblait pas y faire attention. Je l’observai pendant un moment. Il devait être aussi grand que moi, les cheveux bruns descendants jusqu'à sa nuque à l’arrière, plus court à l’avant et légèrement en bataille. Son visage était fin et élégant, mais ce qui me frappa le plus fut ses yeux. Il avait tourné la tête et plongé son regard dans le miens. Ses iris étaient d’un brun tirant sur le rouge et pendant un moment je ne pus détourner mes yeux, obnubilé par son charme. Lorsque je finis par me rendre compte de ce que je faisais, je sentis le rouge me monter aux joues et je me retournai rapidement pour tenter d’ignorer ce que je venais de voir. Sans vraiment réfléchir, je me servis une bonne dose d’alcool forte et bus le tout en un instant. Une sensation de chaleur se diffusa en moi et je retournai parler avec mes amis.

Le temps continua de s’écouler, et bientôt, je me retrouvai complètement soûl. Bien que je tenais encore sur mes jambes, mes pensées avaient de la difficulté à suivre de la logique. Mais je n’étais pas le seul dans cet état et tous trouvaient cela amusant. Puis à un moment, je sentis une main se poser sur mon épaule, je me retournai légèrement chancelant pour constater que c’était le jeune homme que j’avais aperçus plus tôt. Il me sourit avant de me demander si je voulais bien le suivre. Je ne le connaissais pas, mais une fois complètement bourré, ça me paraissait tout à fait naturel de lui emboîter le pas sans poser de questions. Il finit par entrer dans la chambre d’amis, et lorsque je fus à l’intérieur, il ferma la porte derrière moi. Nous nous regardâmes sans rien dire pendant un moment, mais ça ne me paraissait aucunement étrange, on aurait dit que j’étais envoûté par la présence de cet homme. Finalement il s’approcha de moi et j’eu enfin le réflexe de dire quelque chose;

-Alors? Pourquoi tu m’as amené ici?

Un petit sourire s’étira sur ses lèvre avant qu’il ne me réponde;

- Simplement pour parler un peu. J’en avais assez d’entendre toutes ces filles piailler à propos de tout et n’importe quoi et je me suis dit que la compagnie d’un garçon serait plus appréciée.

Il me contourna avant de s’asseoir sur le lit et me faire signe de le rejoindre. Je ne m’y opposai pas et m’assis à mon tour. Il continuait de me regarder d’une façon que je n’arrivais à décrire et qui eu tôt fait de me faire rougir. Un léger malaise se lu sur mon visage mais mon interlocuteur ne sembla pas y prêter attention et me dit tout bonnement;

- Donc, tu es venu ici tout seul?

J’hochai la tête sans rien dire. Il sourit de nouveau, un sourire charmeur que n’importe qui aurait qualifié d’irrésistible avant d’ajouter;

- C’est surprenant, j’aurais cru que tu étais accompagné de ta petite amie par exemple, des pièces d’art comme toi on en voit pas souvent.

Je rougis de plus belle, mal à l’aise face à la remarque. Je ne savais pas ce qu’il voulait, mais une partie de moi me criait de partir, alors que l’autre se sentait complètement attirée par cet être qui me semblait tout sauf humain. Si j’avais été raisonnable, je serais parti sans attendre, mais je ne le fis pas. J’avais la tête qui me tournait légèrement mais ça allait encore. Puis je le vis se rapprocher un peu, mais moi je ne bougeai pas. Il plongea son regard dans le miens et me dit d’un ton mielleux;

- Alors je dois comprendre que tu es libre en ce moment, je me trompe?

Dès que ces paroles furent prononcées, une cloche d’alarme résonna en moi, me criant de partir au plus vite. Mais comme la parfait abruti soûl que j’étais, je restai là, sans rien dire mais tout de même extrêmement gêné et confus par la situation. En fait, ce qui était le plus perturbant dans tout ça, c’était que je me sentais réellement attiré par cet homme. Ça me troublait profondément, bien que je me fusse déjà posé des questions à ce sujet, jamais je n’avais obtenu de réponses. Je finis par relever le regard que j’avais détourné sur un point inexistant dans la pièce. Puis il s’approcha encore plus de moi et posa sa main sur mon visage brûlant par le mélange d’alcool et d’émotions contradictoires. Je me perdis dans son regard et il chuchota doucement;

- Dans ce cas, j’ai bien de la chance…

Il m’embrassa et je figeai, incapable de réagir. Je savais que je devais le repousser, que j’étais en train de faire la connerie de ma vie, mais je n’y arrivai pas, l’esprit tout sauf lucide. Lorsque cet homme don je ne connaissais même pas le nom m’embrassa pour la deuxième fois, je succombai à mon impulsion, à cette nature que j’avais refoulée jusqu'à maintenant. Je l’embrassai en retour et m’agrippai à sa chemise. Ce petit manège dura pendant un moment…et je ne crois pas avoir besoin de vous expliquer la suite. J’ai réellement fait la gaffe de ma vie, oui, j’ai couché avec cet inconnu, mais ce que je ne savais pas, ce qui ruina ma vie est le fait qu’il était un vampire. Bien sur, je n’en savais rien, et je ne compris pas non plus ce qu’il en était après qu’il m’ait mordu et vidé d’une bonne partie de mon sang. Ce vampire, qui était en fait un pur-sang, s’était amusé avec moi, et maintenant, j’amorçais ma phase de transformation. Pour certains la transformation est plus douloureuse que d’autres, et pour moi ça à été l’enfer. Une douleur aigu m’avait envahie, une douleur telle que je ne pus crier, c’est à peine si je pouvais encore respirer. Le sang continuait de s’écouler de cette morsure, et cet homme s’enfuit tout simplement, me laissant agonisant sans aucune aide.

Je ne me souviens plus exactement ce qui s’est passé par la suite. Cette douleur que je ressentais, qui se rependait en mon corps tel un poison, occupait entièrement mon esprit qui n’arrivait plus à suivre la cadence. Une fille me trouva à ce qu’on m’a dit, et supposément qu’elle eu tôt fait d’avertir la maison en entier en lâchant un des ces cris de mort digne des films d’horreur. Je me souviens être parti en ambulance, mais jamais de m'être rendu à l'hôpital. Je suis resté inconscient pendant une cinquantaine d’heure, brûlant de fièvre, la respiration saccadée, même mon cœur ne fonctionnait plus comme il se devait. Mon cœur battait à une vitesse incroyable mais ma pression était extrêmement basse, témoignant de la circulation ralentie de mon sang et paniquant les médecins. Je fus sous surveillance pendant ce temps, puisque tous craignaient pour ma vie. Finalement, lorsque ma situation se stabilisa et que je fus hors de danger imminent, je me réveillai. Je ne comprenais pas ce qui se passait, mais je n’avais pas la force de le demander non plus. Je me sentais faible, dénué d’un simple once d’énergie. J’avais à peine conscience de ce qui se passait autour de moi, tout me semblant irréel, mais cette douleur était toujours là, moins intense qu’au début, mais tout de même là, drainant tout ce qui aurait pu me servir d’énergie. Puis, lorsqu’on essaya de me faire manger pour reprendre des forces, je fus extrêmement malade, la fièvre me saisit de nouveau et je vomis tout. Personne n’arrivait à comprendre ce qui se passait, ils avaient beau me poser toute sortes de questions, je n’arrivais pas a y répondre moi-même.

Finalement, mon état de santé finit par s’améliorer juste assez pour que je puisse retourner chez moi. Parfois la fièvre me reprenait, mais ce n’était jamais très alarmant, alors je me reposais et tout retournais dans l’ordre. Je pouvais désormais manger, mais mon appétit était presque inexistant et la seule chose qui réussissait à me redonner un peu de force était la viande rouge. Je trouvais cela très étrange, mais je ne fis pas le lien immédiatement. Je compris que j’étais devenu un vampire par une journée d’été tout à fait normale. J’étais sorti pour prendre l’air, chose dont j’avais bien besoin. Le soleil n’était pas vraiment fort cette journée là, mais la température était juste assez chaude pour pouvoir se promener en simple T-shirt. Je déambulais dans les rue profitant du grand air au maximum, puis, je vis une petit fille à terre, elle venait apparemment de faire un chute en vélo. Je m’approchai donc pour lui demandé si elle allait bien. De petites larmes perlaient aux coins de ses yeux, mais elle ne semblait pas blessée. Je l’aidai alors à se relever mais par le même fait, je remarquai qu’elle s’était écorché un genou, du sang s’en écoulait. À la vue du sang, je figeai, devenant blême et étrangement attiré par ce liquide, source de vie qui s’écoulait doucement. Ma faim s’éveilla brusquement et une envie irrésistible d’égorger cette petite fille me prit. Je me mis à trembler, ne voulant pas faire une telle chose, mais la faim était telle que je n’arriverais pas à me contrôler très longtemps. Quelques secondes s’écoulèrent, quelques secondes qui me parurent être une éternité puis je m’enfuis, complètement paniqué. Je ne savais pas ce qui me prenait, mais je savais que si je restais près d’elle plus longtemps, j’allais vraiment la tuer…

Une fois chez moi, je m’étais enfermé dans ma chambre et assis dans un coin, ne bougeant pas de là, complètement traumatisé par ce qui venait de se passer. Je me posai les même questions pendant de longues heures, sans même sourciller, complètement sous le choc face à ma propre réaction. C’est là que l’idée du vampire fit son apparition. Au début, je me suis dit que c’était complètement absurde, mais à force d’y penser je commençai à douter de l’impossibilité de la chose. Je me levai pour m’observer dans le miroir et constatai que j’avais attrapé des coups de soleil partout ou ma peau avait été à découvert lorsque j’étais sorti. Je n’avais jamais de coup de soleil, même par les journées beaucoup plus à risque au niveau UV, jamais je n’avais de coup de soleil. Puis je pris le temps d’observer mes canines, je remarquai qu’elles avaient allongées dans les dernières semaines et qu’elles étaient devenues beaucoup plus pointues. C’est là que je compris, je ne voulais pas y croire, mais avec tout ce qui s’était passé, je ne pouvais nier l’évidence, j’étais bel et bien devenu un vampire.

Lorsque je voulu expliquer cela à ma mère, elle me prit pour un fou, me disant que je m’imaginais des choses, mais lorsque mon père entra dans la maison, s’étant blessé au doigt suite à des travaux à l’extérieur, elle fut convaincu. À la vue du sang, cette même envie me prit et j’avais reculé dans un coin de la cuisine, aussi blanc qu’un drap. Je secouai la tête lentement de droite à gauche, murmurant sans cesse le mot ‘’non’’, tentant de résister à cette envie meurtrière. Mon père, ne comprenant pas ce qui se passait, s’approcha de moi, me demandant ce qui m’arrivait. Je continuai de reculer à mesure qu’il s’avançait, et lorsque j’heurtai le coin du mur, je me laissai glisser le long de celui-ci, me prenant la tête à deux mains, étant aux abords de la folie. Mon père devenu très inquiet s’était dangereusement approché de moi et s’était même accroupi à mes côté me demandant ce qui se passait. Ma mère regardait la scène complètement déboussolée un peu plus loin. Je me mis à respirer très rapidement et la seule chose que je souhaitais était que mon père s’éloigne, mais il ne le comprenait pas. Puis, soudainement, un effluve de son sang me parvint. Je cessai de bouger pour me mettre à trembler, mes yeux horrifiés n’osaient se poser sur mon père puisque l’envie était déjà trop forte, puis je criai, je criai de toutes mes forces. Mon père tenta de me calmer, mais lorsque je lui eu hurlé de s’en aller, de ne plus m’approcher, il se résigna et parti sans poser plus de questions suivit par ma mère. J’étais resté là, complètement perdu et pris d’une panique si intense que je ne croyais pouvoir la supporter. Jamais je n’avais pleuré de ma vie pour autre chose que des blessures dans ma jeunesse, mais cette fois là, je fondis en larmes, n’arrivant pas à croire ce qui s’était passé, n’arrivant pas à croire que tout cela était vrai, c’était trop. Je me voyais comme un monstre, comme une bête sauvage qui n’avait plus sa place au sein de la société, j’avais l’impression que mon monde en entier venait de s’écrouler, que tous mes repères s’étaient évanouis dans le néant le plus total, et j’En suis toujours convaincu d’ailleurs.

Mes parents finirent par accepter cette réalité et durent faire de nombreuses recherches sur le sujet. Ils finirent par découvrir une école qui possédait un programme spécial pour les vampires, pour les gens comme moi. Ils décidèrent que c’était le meilleur moyen pour moi de me remettre de tout cela et que ce serait le seul endroit ou je pourrais vraiment me développer convenablement malgré ma ‘’condition’’ comme ils disaient si bien. C’est la raison de ma venue à Riverside, mais je n’ai pas vraiment d’attente face à tout ça, puisque ma vie me donne l’impression de ne plus rien valoir.


Orientation Sexuelle: Je suis dans une période assez confuse je dois dire, mais même si j’ai de la difficulté à le croire moi-même, je crois être homosexuel en réalité…surtout après ce qui s’est passé.
Secrets:
La Famille et les Relations:Il y a bien sur ma mère et mon père. Ma mère est une personne plutôt étrange mais qui souhaite toujours le mieux pour tout le monde. Sinon, pour ce qui est de mon père, il a une personnalité plutôt explosive, quoiqu’il n’ai jamais maltraité personne dans ma famille, mais lorsque que quelque chose ne fait pas son affaire, croyez-moi il vous le dira! Sinon, j’ai une petite sœur de 9 ans, elle est très gentille et très mignonne. Par contre étant très curieuse de nature, elle cherche toujours à tout comprendre, donc elle pose des questions sans cesse, ce qui peut devenir irritant par moment. Sinon, je n’ai jamais eu de personne particulièrement importante dans ma vie, pas de meilleur ami ou quoi que ce soit du genre, je dois avouer que j’ai toujours eu une certaine réticence à m’attacher réellement aux gens.
Autre: Je sais que je suis sensé en posséder un, mais je ne l’ai pas encore découvert. Quoique je suis certainement pas pressé de le faire non plus.