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 Otilie-Schatten Edelstein

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Otilie-Schatten Edelstein
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Otilie-Schatten Edelstein


Messages : 181
Date d'inscription : 08/11/2011

Otilie-Schatten Edelstein Empty
MessageSujet: Otilie-Schatten Edelstein   Otilie-Schatten Edelstein Icon_minitimeVen 25 Nov - 22:17

Carte Étudiante


Nom: Edelstein
Prénom: Otilie / Schatten
Âge:16 ans
Sexe:Féminin
Année: 3e année, j’ai coulé mon année à l’école publique.
Nationalité: Allemande, bien que j’ai vécu presque toute ma vie aux États-Unis.
Classe:N
Option:Régulière

Dossier Médical

Taille: 1m67, ou 5 pieds 6 si vous préférez
Poids: 61 kilos, mais c’est calculé au pif parce que la dernière fois que je me suis pesée, c’est v’là un bout et c’était en livres. De quoi du genre 135 livres.
Allergies:À part le rhume des foins, rien de bien exceptionnel.
Handicap:Être une fille, une queue et des oreilles de chat… C’est plutôt handicapant.
Maladies ou Troubles: Rien, mais si tu me cherche tu pourrais te retrouver en avoir un par contre.
Antécédents Médicaux: J’ai été hospitalisée une fois, du moins à ce que je me souvienne, après avoir été laissée pour morte dans un hangar.

Description Physique

Sans fioriture, voici donc ce à quoi je ressemble; 5’6 (167 cm), 132 livres (60 kilos) d’os et de muscles, cheveux blonds court et yeux bleus. En plus détaillé :
Corps : Même si ma mère mesure 5’8 et mon père 6’, je ne mesure que 5’6 car j’ai coupé ma croissance en commençant à m’entrainer intensément vers l’âge de 12 ans. Résultat; pas une once de graisse ou presque, un « six pack » et quasiment plus de pectoraux que de sein. Quoique avec du AA comme taille de bonnet ce n’était pas si dur à faire. En tout cas, ce n’est vraiment pas comme si ça me dérangeait. Aussi, il serait à préciser que j’ai le corps couturé de diverses cicatrices, à un point tel que j’atteindrais 200 mots avec seulement la première moitié.
Visage : J’ai un visage assez carré, avec un nez et des yeux juste de la bonne grandeur pour ne vous donner aucun indice sur mon sexe. Aucun trait de mon visage n’est suffisamment prononcé d’une manière ou d’une autre pour donner une indication claire, mais du coup que l’on sait que je suis une fille, on peut le voir. Quoique d’un coup qu’on sait que je suis un gars aussi. J’ai les yeux bleus très très pâle, avec les pupilles légèrement étirées vers le haut, mais la plupart des gens ne le remarque pas, puisque ça ne parait vraiment qu’en présence de lumière intense, et que je n’aime pas la lumière intense. J’ai aussi deux cicatrices sous l’œil gauche, une au sourcil droit, une à la tempe droite, une sur le côté gauche de la mâchoire et une sur mon nez, qui est d’ailleurs resté un peu croche d’avoir été brisé dans un street fight.
Tout ce qui est poilu : J’ai les cheveux blonds moyen, pas particulièrement remarquables, avec une coupe de cheveux dégradés qui m’arrivent à la mâchoire en avant, à la nuque en arrière. J’ai cette espèce de toupet-frange tassé sur le coté sur le devant du visage, en un résultat des plus androgynes (tirant vers le masculin). Pour ce qui est de mes oreilles et de ma queue, elles sont beige-gris foncé, motif écaille de tortue, et jurent un peu avec mes cheveux. Aussi, je dois préciser qu’elles sont très touffues, à la manière d’un chat angora.

J’ai un style vestimentaire assez simple, puisqu’il se résume généralement aux mêmes choses; des pantalons cargos (kakis, gris ou noir) ou un jean, un polo noir et un chandail (blanc, gris ou noir) avec des souliers de sport. Le tout, sauf les souliers de sport et mes boxers, étant vraiment trop grand, dans le style « yo ». Le vêtement le plus extravagant de ma garde-robe est une combinaison de cuir noir un peu élimée. Elle a des bandes de cuir placées à un endroit propice pour dissimuler un couteau, et des zipper pour installer un holster sur chaque cuisse, et une large capuche que je peux attacher au col. J’ai bien entendu quelques vêtements féminins achetés par ma mère et jamais portés, que j’ai laissés chez elle.

Analyse Psychologique

Personnalité: Lie a un caractère enjoué en apparence, sans pourtant dissimuler son un fort penchant fataliste et je-m’en-foutiste, qu’elle exprime surtout dans des blagues. Elle monte ces apparences comme les murs d’une forteresse qui la protège et l’éloigne de ses peurs qu’elle ne veut avouer à personne, pas même elle. Elles font d’elle un peu personne en réalité peu accessible, toujours la personne qu’on touche du bout du doigt mais qui est trop loin pour qu’on l’agrippe. Du à son passé dans les rues, elle est fortement sexiste, considérant la gente féminine comme faible, mais ne se laisse pas avoir à les sous-estimer. Elle préfère se tenir avec des garçons, connaissant mieux leur façon de penser après des années à les côtoyer, toutefois, suite à un traumatisme, elle a une peur bleue de la gente masculine. Elle ne fait pas confiance facilement. À vrai dire, elle ne fait tout simplement pas confiance; la seule personne sur laquelle elle se fie, c’est elle-même.
Phobies: J’ai peur des gars, même si je ne me l’avoue pas et que je ne le montre pas. Je n’ai pas vraiment peur d’eux individuellement, ni particulièrement dans un endroit bondé, mais j’ai peur de ce qu’ils pourraient me faire à plusieurs. En fait, je suis plutôt anxieuse.
J'aime et j'aime pas: Commençons par ce que je n’aime pas. C’est facile, en énumérant; qu’on me touche, qu’on m’approche à plus d’un mètre, ma mère, les filles en général, les gars si on considère ce dont j’ai peur aussi (au fond je n’aime simplement pas les gens), écrire, peu importe la langue, l’optimisme à toute épreuve (la vie c’est une merde, arrêtez de prétendre le contraire, si vous ne l’aviez pas encore compris vous êtes nuls ou ça va pas tarder) et la lumière forte et surtout qu’on essaie de me comprendre. Pour ce que j’aime, c’est un peu moins long; mon père du temps où il vivait encore, la nuit, le parkour, la liberté, les armes en général mais par-dessus tous mes trois bébé : mes deux revolvers Colt Python 357 avec canon de 6 pouces et mon couteau à cran d’arrêt carbone. Ce sont mes amours. Étrangement, j’aime les maths.
Projets d'Avenir: Il Pour l’instant, Otilie n’as pas vraiment de rêves ni de projets. Elle n’avait jamais prévu aucun avenir en dehors des rues, et ne s’est toujours pas fait à l’idée d’en être définitivement sortie.

Biographie

Je suis née un novembre, en 1994. On aurait pu croire que ma naissance serait bien accueillie, mais ce n’est pas ainsi que ça se passa, en réalité. Je suis née neko, un bébé humain avec des oreilles et une queue de chat. Le truc le plus étrange dans tout cela, c’est que ma mère était neko aussi. Alors elle aurait dû comprendre, non? Accueillir à bras ouvert l’enfant à son image?
Au contraire. Ma mère, bien qu’étant neko, n’avais jamais accepté cette nature et pour y remédier, c’était d’elle-même coupée les oreilles et la queue puis avait revêtu le voile pour dissimuler les cicatrices, cicatrices qu’elle avait expliquées à mon père comme celles d’un accident. Ainsi, lorsqu’elle vit que l’enfant qu’elle avait mis au monde était un monstre tout comme elle, elle poussa un cri d’horreur et de désespoir. Quel bel accueil dans ce monde.
Je vécus les deux premières années de ma vie en Allemagne, avec mes deux parents. Mon père était malgré ma différence un papa aimant, qui m’acceptait telle que j’étais, mais ma mère n’entrait pas dans cette catégorie. À plusieurs reprises, elle tenta de me mutiler de la même façon qu’elle l’avait fait sur son propre corps, et un beau matin mon père n’en pouvant plus s’enfuit avec moi. La première année, nous restâmes en Allemagne, mais Bathilda eut tôt fait de nous retrouver. C’est alors que fut prise la décision de partir loi, beaucoup plus loin. Quelques jours plus tard, nous traversions l’Atlantique en avion, direction les États-Unis.
C’est à partir de ce moment que tout commença à aller moins bien; mon père, en s’enfuyant ainsi, avait perdu son emploi, sa maison, ses meubles, sa voiture, tout. Nous commençâmes donc notre nouvelle vie dans un quartier plutôt pauvre, mais encore correct. Cependant, au fil des ans, les gens ont finit par découvrir mon secret, ma malformation, et nous dûmes déménager dans un quartier encore moins bon. Bien sûr, le travail de mon père aurait pu permettre mieux, mais les professeurs à domicile qu’il insistait pour me payer coupaient cruellement son budget et à chaque fois, nous déménagions encore et encore, jusqu’à finalement aboutir dans les quartiers pauvres de Détroit Est. À ce moment, je n’avais que 9 ans, mais j’avais définitivement compris que les gens ne voulaient pas de bizarreries comme moi, et surtout que les femmes, dans ce monde ou je vivais, n’avaient pas leur place. Ce que j’avais vu et entendu avait suffi à me faire voire que toutes devenaient soit putes, soit femmes au foyer se terrant nuits et jours dans leur maison sans jamais rien faire d’autre que craindre.
Une solution, logique mais implacable, s’imposa à moi juste avant notre déménagement; si je voulais avoir ma place dans cette nouvelle ville, je devais devenir un garçon. Je me coupai les cheveux, et ne me mit à porter que les vêtements les plus masculins de ma pauvre garde-robe, jusqu’à ce que d’autres, définitivement garçons, ne les remplacent. Je changeai aussi de nom; au lieu de me nommer Otilie Edelstein, j’étais devenue Schatten Edelstein. Quelques années plus tard, je décidai follement d’entrer dans les gangs de rues; je ne réalisais pas encore ce que ça signifiait, mais j’étais décidée. Je commençai à m’entrainer intensément vers l’âge de 11 ans, coupant définitivement ma croissance et changeant la forme de mon corps pour quelque chose d’androgyne. Vers 12 ans, j’entrai dans une gang, et je reçus mon premier cadeau de fête de la part de mon père; un Colt Python .357 Magnum avec canon de 6 pouce, et un couteau à cran d’arrêt. C’était sa façon à lui de me témoigner son amour; il avait compris qu’il ne pourrait pas m’empêcher de faire ce que je voulais, alors il m’offrait de quoi me défendre.
Au fil du temps, je me créai une réputation dans les rues malgré le fait que j’étais blanche ; j’étais devenue un « Street fighter » dangereux à l’âge de 13 ans, et je gagnai bientôt de l’argent dans diverses transactions de drogues ou simplement en pariant sur le résultat de certains combats. Au fur et à mesure que ma façon d’utiliser mon couteau se perfectionnait et que d’autres s’ajoutaient à ma collection, j’obtins un surnom; Slash. Je me fis aussi des « amis », dont l’un duquel j’étais particulièrement proche; le Métis Matthew Brown, alias Sniper, le meilleur tireur de la gang. C’est aux alentours de cette période que naquis, pendant un voyage de travail de mon père, Shadows.
J’avais vu une boutique qui ventait les vêtements en cuir qu’elle fabriquait, et ayant accumulé une somme respectable au cours des années passées, je décidai de me faire faire une combinaison, un peu sur un coup de tête. J’étais en quelque sorte fatiguée de jouer aux garçons depuis si longtemps, et puis, quel mal pourrait sortir de cette folie? À mon retour à Détroit, je commençais à apparaitre avec cette combinaison, le visage peint en noir, sous le nom de Shadows. Au départ, personne ne faisait confiance à cette nouvelle venue, mais je fis là aussi mes preuves. Seulement, tout était plus compliqué; je menais maintenant trois vies à la fois; j’étais celle qui la moitié du jour étudiait à domicile, l’autre moitié participait aux activités de la gang de rue et pendant la nuit remplissait les mêmes offices sous le couvert d’un personnage mystérieux. Personne n’était au courant de la charade, hormis mon père et Sniper.
Je vécus cette vie pendant près de deux ans, et je gagnai suffisamment d’argent pour ajouter un deuxième revolver à ma collection, ainsi que deux combinaisons. Je réussissais étonnamment bien à cacher mes attributs félins, bien que sans eux je ne me serais probablement jamais rendue aussi loin; ils augmentaient ma vue de nuit, mon ouïe et mon équilibre et dieu sait à quel point ce me fut utile! C’est aussi pendant ces deux années que je perdis mon âme, façon de parler; ce personnage que j’enfilais la nuit était maintenant tueuse à gage de talent, et je commis plus d’un meurtre. J’avais pris l’habitude de m’accrocher au plafond dans un coin de la chambre de ma victime avec mes couteaux, attendant qu’elle passe près pour lui bondir dessus, l’égorger et m’en aller, comme une dernière ombre furtive.
Mon père n’eut plus d’argent pour me payer un professeur privé, et je dus bientôt fréquenter l’école publique, terrorisant les professeurs sans aucuns scrupules pour pouvoir garder mes secrets. Trop occupée par mes basses besognes dans les rues, je coulai mon année de façon impressionnante, sans pourtant m’en soucier.
Il vint même un temps où je devins si bonne qu’on m’envoya en mission dans une transaction de drogues Montréal-Détroit (Voir mon RPG Nouvelle Perspective [Pv; Jayden Myriot] pour plus de détails). C’est à ce moment que tout tourna vraiment mal; sans le vouloir vraiment, Shadows prenait lentement mais surement la place de Sniper dans la gang; elle était plus rapide, plus posée, et plus discrète. Pour sûr, il était toujours le meilleur tireur, mais je faisais mieux l’affaire. C’est alors qu’il devint apparent que j’étais loin d’avoir tout compris à propos des rues.
J’avais cru que Sniper comprendrait, j’avais eu confiance en lui et en notre amitié. J’avais oublié le plus important; dans la rue, on n’a pas d’amis. En août, soit deux mois après ma mission à Montréal, lui et trois autres gars virent me voir, et tout tourna au cauchemar (Voir mon RPG Renaissance d’un cauchemar [Pv; Jayden Myriot] pour plus de détails). Ils m’abandonnèrent évanouie et ensanglantée dans une ruelle d’un autre quartier, et lorsque je repris conscience, je dus marcher jusqu’à chez moi, dépourvue de toute force hormis celle que l’idée de revoir mon père me donnait. Je n’arrivai chez nous que très tard dans la nuit, et lorsque je retrouvai mon père, il était mort, des balles ayant percé son abdomen, entrainant une mort lente et souffrante.
La police vint nous chercher suite à mon appel. Mes blessures étaient suffisamment graves pour m’amener à l’hôpital, mais je n’avais pas l’argent pour me faire soigner, alors je n’y allai que pour confirmer l’identité de mon père. Il y eu l’enterrement, les flics qui cherchaient où m’envoyer; ils avaient découvert que j’avais une mère, mais ils ne l’avaient pas encore trouvée. Environ une semaine et demie après l’incident, je m’enfuis du poste de police à l’insu de tous, vêtue d’une de mes combinaisons, et me rendit chez Sniper.
Lorsque je revins au poste de police, Sniper n’était plus, et j’avais pris ma vengeance, me laissant encore plus vide. Les flics finirent par retrouver ma mère en Allemagne, et m’envoyèrent chez elle, bien malgré moi. J’y restai environ deux mois avant qu’elle ne m’annonce qu’elle avait trouvé une école qui hébergeait les nekos, en Angleterre. Une semaine plus tard, je m’envolais pour Riverside Academy, loin de tout ce que j’avais déjà connu, mais aussi, malheureusement, de mes colts.

Faudrait pas oublier!

Orientation Sexuelle: Hétéro.
Secrets:
Spoiler:
La Famille et les Relations: Mon père (Stein Edelstein) est mort assassiné dans les quartiers pauvres de Détroit, donc ma mère (Bathilda Scheffer) est la seule famille qui me reste… Quoique si mère c’est ma famille, aussi bien dire que je n’en ai pas. Je dois bien avoir quelque oncles et tantes, mais la dernière fois qu’il m’ont vue je n’étais qu’un bébé, et voyez-vous, je ne m’en souviens même pas. J’avais autrefois des relations dans une des gangs de rue de Détroit, mais j’ai un peu tout saboté en assassinant un de leurs meilleurs tireurs. Oups. En fait, en venant à Riverside, je reparti à neuf, même si maintenant j'y connais quelque personnes; Lena Holm, mon ancienne coloc partie en Corée, Jayden Myriot.... Un dude qui me connais un peu plus que les autres... Sky Zatcher, son coloc, Raymond, Jérémie, Sandy et Ozumi, les autres délinquants de la classe N, Ginger, et un peu d'autre monde un peu partout dans l'école.
Autre: La plupart des gens pensent que je suis un gars. C’est toujours un peu drôle de voir leurs faces ahuries quand ils apprennent que je suis une fille. Surtout quand je me suis présentée à eux sous le nom de Schatten, parce que moi aussi j’avais oublié que j’étais une fille.


Et toi, t'es qui en fait?

Surnom:Angelicus Cadere, ou Val.
Âge:16.
Expérience Rp: 1 ans!
Disponibilités: Sauf dans les rush de devoirs, pas mal tout le temps.
Commentaires:Mon forum <3 C :
Codes: Haha moi je m’en fous j’suis admin.
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Otilie-Schatten Edelstein
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